Imaginez-vous, en plein désert, dans un festival complètement barré appelé burning man. Cela fait quelques jours que vous vous nourrissez uniquement de galette-mayo-tomates et de denrées offertes à la volée mais vous oubliez la faim (& vous oubliez tout), l’amour des gens vous sufisant. Après votre cours de yoga, vous vous installez confortablement sur un canapé, dans un camp où vous rigolez bien.
Et là, magie, on vous offre des enormes cookies absolument delicieux. Les meilleurs de ma vie. Moelleux limite pas cuits à l’intérieur, croustillant et généreux à l’extérieur, avec un chocolat coulant et, l’ingrédient qui fait tout, des chamalows trop fluffy. Autant vous dire que j’ai tenté de re-faire la même direct en rentrant en france (et j’ai presque réussi mais la vérité, c’est pas encore aussi aérien).
Les cookies de la mort qui tue (smore’s cookies)
Ingrédients
- 550 gr de farine
- 1/2 sachet de levure chimique
- 250 grammes de beurre mou
- 75 gr de sucre blanc
- 200 gr de sucre de cannes
- 1 pincée de sel
- 2 oeufs
- 200 gr de chocolat & 12 chamalows
Instructions
- Préchauffer le four à 180°.
- Dans un saladier, mélangez la farine et la levure.
- Dans un autre bol, délayez bien les sucres et le beurre à l’aide d’un fouet:
- vous obtenez une pâte lisse, jaune pâle.
- Vous ajoutez les oeufs et le sel puis vous battez de nouveau.
- Vous ajoutez le contenu du bol dans le petit puits que vous aurez créé au sein du mélange farine/levure.
- Vous battez de nouveau avec votre fouet et vous finissez de pétrir à la main.
- Vous ajoutez alors votre chocolat que vous avez préalablement mixé afin d’obtenir des petites pépites (ou vous achetez directement des pépites mais 1/c’est cher 2/c’est moins bon) et vos chamalows.
- Vous formez ensuite des boules de 4cm de diamètre que vous disposez sur une plaque anti-adhésive de votre four.
- Vous les mettez plutôt sur une grille haute de votre four (pour que ça dore) et laissez une dizaine de minute.
- Vous sortez ensuite vos cookies et laissez les reposer 5 min sur la plaque (les cookies finissent de « cuire » à l’air libre, ils durcissent à l’extérieur comme ça!).
- Puis mourrez de joie!